Les récits d’aventuriers et de romanciers tels que Kessel, Conrad, Heyerdahl, London, Hemingway, Saint-Ex’, Frison-Roche puis quelques navigations plus tard, Moitessier, Jean-Louis Etienne, Cousteau, Zuber et leurs documentaires, ont fait grandir un peu plus cette envie d’aventures, la transformant en une soif d’expéditions et de rencontres au long cours. Et c’est là, quelques années plus tard, au cours de ces premières aventures terrestres et maritimes dans le désert marocain en 1993, puis lors d’une première transat en 1995, que photographie et écriture ont pris naturellement une place complémentaire dans la vie de Vincent Hilaire. À côté de son travail de journaliste reporter d’images en télévision, il disposait alors d’outils pour commencer à raconter, exprimer sa sensibilité et transmettre ses émotions. Il est aujourd’hui photographe et journaliste freelance et met ses compétences au service de la grande cause climatique et du vivre ensemble. Sensibiliser le public par des photographies, des films, des textes pour faire comprendre, par exemple, les conséquences du dérèglement sur les peuples autochtones, lui paraît essentiel.
Film projeté : Carnet du Groenland, le réchauffement à Ittoqqortoormiit, de Michel Izard et Bertrand Lachat, production Ushuaïa TV
Lieu : médiathèque d’Escalquens