Pierre-Marie Hubert

Passionné depuis toujours par les contrées lointaines, ayant rêvé devant les émissions du commandant Cousteau dans sa jeunesse, Pierre-Marie va concrétiser cette passion grâce à la vidéo qu’il découvre après son service militaire et notamment à la suite d’un tournage avec un journaliste radio au Maroc, en 1987.

En rayonnant autour de son pays natal, la France, il poursuit alors les voyages en Scandinavie, en Irlande, en Ecosse, en Islande…puis poussera les limites géographiques avec trois voyages marquants en Alaska.

En 1998, il créé l’association Nature Eau Scope ayant pour objet la production de films documentaires. Chaque destination est pour le réalisateur et son équipe, une plongée dans un univers différent que Pierre-Marie défend avec passion, avec un regard de naturaliste mêlé de poésie.

Les tournages vont alors s’enchaîner, parfois en condition expéditionnaire; le Spitzberg, (“Le Damier du Pôle”,) La Mongolie, (“La mère des Mongols”), le Groenland (“Le crépuscule des glaces”), la Bolivie (Les Dieux de l’Altiplano”), Madagascar ( “Au pays des hommes poissons”), le Nunavut (“Les îles des chasseurs de pierre”), le Yukon ( “Dans les veines du Klondike”),  l’île de la Dominique ( “L’île joyaux des peuples oubliés”),…sans oublier la fabuleuse île de Corse ! (“Les perles d’une île”) … et  prendront parfois une orientation plus scientifique avec la Patagonie (“Le souffle de Darwin”) et surtout la péninsule Antarctique qu’il découvre en voilier en 2013 ( “Cap sur l’Antarctique”). Par la suite, son autre passion , l’Histoire, est mise en avant dans un nouveau tournage en Islande (“L’île d’Enfer”). Et aujourd’hui c’est un nouveau sujet  sur la Tasmanie qu’il a tourné en 2018 avec le professeur Francis Hallé “Les Immortels de Tasmanie” qui sera diffusé dans les circuits de conférence en 2022 ainsi que dans plusieurs festivals.